Les billets de mai 2006
Les archives du mois de mai 2006
HD ready-bitoire
J'étais à la FNAC il y a quelques jours et j'ai été frappé par la quantité de produits « HD quelque_chose ». Sur le moment cela ne m'a pas vraiment interpellé. J'ai bien-sûr constaté l'offensive « Haute Définition » menée par les ténors de l'électronique grand public que sont Sony, Microsoft, Toshiba et consort. Plus franco-français, j'ai remarqué que Free et Neuf Cegetel préparaient des Box HD. Je sais également que TF1 diffusera les contenus du Mondial 2006 en haute définition. Attention, les rencontres en HD seront diffusées sur TPS via le satellite et cela ne concerne que les 10.000 abonnés qui disposent d'un décodeur compatible Mpeg-4, le format de diffusion de la haute définition. De mon point de vue, rien de nouveau sous le soleil, ils font leur métier : nous donner envie de nous re-équiper en téléviseur et produits associés. A nous de faire le notre : n'acheter que quand nous en avons besoin et uniquement ce dont nous avons besoin. Ce qui m'agace dans cette déferlante commerciale, c'est qu'on se contente d'exposer les aspects séduisants de la technologie en occultant la part d'ombre. Comme d'habitude !
Portable pas cher
Le marché des ordinateurs fixes et portables arrive à saturation dans les pays développés. Cette situation coïncide avec une croissance soutenue du même marché sur les autres continents. Cela explique probablement l'appétit des multinationales informatiques vis-à-vis des pays émergents. Deux exemples :
Y a-t-il un pétrole dans l’avion ?
Augmentation du prix du gaz chez Gaz de France, flambée du prix des carburants à la pompe, hausse du prix des billets d'avion chez Air France … Bref, voici une liste non exhaustive des conséquences de la flambée du prix du pétrole sur le quotidien de nombreux français. Le baril de brut coûtait 25 dollars à la fin 2002 il est aujourd'hui à 75 dollars. Pour ma part un seul commentaire : ça fait cher le pot de yaourt ! Oui, les pots de yaourts sont fait en plastique, un dérivé du pétrole. Pour expliquer cette situation la presse évoque généralement trois facteurs :